Non, Manu !

Les agressions actuelles en France  contre les élus, même si elles sont condamnables, sont l'expression d'une rage du peuple.

Tu devrais lire Paris-Match de cette semaine, avec des articles des journalistes que je partage entièrement :

• Ils règlent son compte à Emmanuel Macron, avec une violence inhabituelle

• Ils attaquent sans merci les dirigeants de Boeing pour mensonges répétés ayant entraîné des catastrophes aériennes

• Ils mettent Serge Klarsfeld sur le gril pour soutien honteux au Rassemblement National

En Israël, les dirigeants du Mossad, contre l'avis de Benjamin Netanyahou, libèrent le directeur de l'hôpital Al-Shifa, et demandent des pourparlers de paix suivis de la libération des otages. C'est la fin de cette guerre d'Israël contre les Palestiniens, avec, à la clé, la démission de Netanyahou et, sans doute, sa mise en accusation.

En Ukraine, les avancées russes sont conséquentes et vont forcer Zelensky à accepter des pourparlers de paix avec Poutine.

Macron a faux sur toute la ligne, à la fois pour avoir dissous l'Assemblée Nationale (en espérant un résultat qui le rétablisse) et, sur le plan international, en finançant des équipements militaires pour l'Ukraine et pour Israël.

Tu continues à délirer sur ta haine des islamistes et des communistes. Ce n'est pas le sujet actuellement : la fascisme c'est bien l'extrême droite raciste et violente, qui va être renvoyée dimanche dans les cordes par ce barrage anti-RN..

Il est temps de remettre au milieu du village, à la fois la mairie et l'église.

La situation dangereuse que vit la France, et aussi le monde (avec l'élection américaine ouvrant la voie à un fou nommé Donald Trump), nécessite une réaction des forces progressistes, qui est en train de se produire.

En Grande Bretagne, une victoire écrasante des travaillistes, contre des tories en perdition, est un signal positif.

La meilleure nouvelle est l'arrêt prochain des 2 guerres en cours.

Reviens sur terre, Manu, le monde dangereux est en train de changer positivement quand tu restes sur des fantasmes irréels et à proscrire du passé.

Raoul